Après avoir fait leurs classes dans certaines grandes tables de la région et sur Paris, Sherri et Nicola Boniface ont repris le restaurant l’Auberge Le Beauharnais de La Ferté Beauharnais.
La cuisine de Nicola Boniface, c’est un sentiment de déjà-vu pour les yeux et d’inattendu pour les papilles, « un melting-pot de techniques d’ailleurs et de produits d’ici »… C’est sur cette ambiguïté que joue le couple qui a repris en août dernier le restaurant l’Auberge Le Beauharnais, installé à La Ferté Beauharnais. « J’ai fait mes classes dans deux établissements gastronomiques de la région, l’Hôtel Tatin de Lamotte-Beuvron et le Domaine de Valaudran à Salbris, avant de rejoindre des tables en région Parisienne. Un jour M. Valleye m’a informé qu’il voulait lever le pied et m’a demandé si je souhaitais reprendre sa table », rappelle le chef.
Ce retour aux sources pour Sherri et Nicola Boniface est également l’occasion de mettre en avant leur slogan : « on se régale du glocal saisonnal ». Le glocal, contraction de global et local, est à la base de l’expérience culinaire proposée : « Ma cuisine s’appuie sur des produits locaux que je mêle à des saveurs exotiques. C’est le cas avec le filet de bœuf sauce chimichurri, un condiment argentin, que je fais à la façon de ma famille en Bolivie ; où le médaillon de biche sauce mole. Les gens connaissent les produits mais sont surpris de découvrir des saveurs ou une cuisson un peu différente de ce à quoi ils s’attendaient », détaille le restaurateur.
Un large choix de vins et spiritueux
Si la matière première arrive en priorité de producteurs sélectionnés et installés à une cinquantaine de kilomètres autour du restaurant, le chef part du principe qu’on est jamais mieux servi que par soi-même. Pour ce faire, le potager de l’établissement est copieusement mis à contribution : « J’y prends beaucoup de légumes, de fleurs et d’herbes qui sont cultivés selon les saisons ».
Pour que le rêve soit complet, cette technique est appliquée aussi bien en cuisine qu’en salle. Ainsi Sherri Boniface n’hésitera pas à mettre en avant les vins et spiritueux du Val de Loire mais surprendra aussi sa clientèle locale avec de petites pépites en provenance des quatre coins du monde. « Même si je reconnais l’importance des accords mets et vins, je suis là pour faire découvrir de nouvelles saveurs à mes clients que ce soit en matière de vins que de spiritueux ».
Ouvert du jeudi midi au lundi midi, l’établissement propose des plats à la carte ou que l’on peut retrouver à travers trois menus pour des prix allant de 38 à 65 €. L’Auberge peut accueillir une soixantaine de couverts grâce à ses deux salles. Le restaurant peut être partiellement ou totalement privatisé pour des événements familiaux ou d’entreprise.
Ce retour aux sources pour Sherri et Nicola Boniface est également l’occasion de mettre en avant leur slogan : « on se régale du glocal saisonnal ». Le glocal, contraction de global et local, est à la base de l’expérience culinaire proposée : « Ma cuisine s’appuie sur des produits locaux que je mêle à des saveurs exotiques. C’est le cas avec le filet de bœuf sauce chimichurri, un condiment argentin, que je fais à la façon de ma famille en Bolivie ; où le médaillon de biche sauce mole. Les gens connaissent les produits mais sont surpris de découvrir des saveurs ou une cuisson un peu différente de ce à quoi ils s’attendaient », détaille le restaurateur.
Un large choix de vins et spiritueux
Si la matière première arrive en priorité de producteurs sélectionnés et installés à une cinquantaine de kilomètres autour du restaurant, le chef part du principe qu’on est jamais mieux servi que par soi-même. Pour ce faire, le potager de l’établissement est copieusement mis à contribution : « J’y prends beaucoup de légumes, de fleurs et d’herbes qui sont cultivés selon les saisons ».
Pour que le rêve soit complet, cette technique est appliquée aussi bien en cuisine qu’en salle. Ainsi Sherri Boniface n’hésitera pas à mettre en avant les vins et spiritueux du Val de Loire mais surprendra aussi sa clientèle locale avec de petites pépites en provenance des quatre coins du monde. « Même si je reconnais l’importance des accords mets et vins, je suis là pour faire découvrir de nouvelles saveurs à mes clients que ce soit en matière de vins que de spiritueux ».
Ouvert du jeudi midi au lundi midi, l’établissement propose des plats à la carte ou que l’on peut retrouver à travers trois menus pour des prix allant de 38 à 65 €. L’Auberge peut accueillir une soixantaine de couverts grâce à ses deux salles. Le restaurant peut être partiellement ou totalement privatisé pour des événements familiaux ou d’entreprise.